Moi, violeur, tueur et fier de l’être !

Extraits du livre

– Chapitre 11, page 98

La perspective de tuer mes parents me réjouit au plus haut point. Je dois absolument peaufiner mon projet. Je dois absolument les faire souffrir comme ils m’ont fait souffrir. Je savoure ma revanche. J’en salive d’avance.

Page 109

Toute la journée, je travaille comme un forçat. M’être débarrassé de mes parents m’a mis du baume au cœur. J’avance vite et ne ressens aucune fatigue particulière.

Chapitre XII, page 111

Je suis allongé sur mon lit, dans ma cellule, et je pense.

Je regarde les photos de femmes nues sur le mur et pense à mes viols et à mes crimes. Ils étaient parfaits.

Chapitre XIII, page 117

Un soir, alors que je rentre du travail, je vois une voiture garée sur le bas-côté. J’avance doucement vers elle et m’aperçois que la rousse qui m’avait éconduit au bal du 13 juillet est penchée sur sa roue. Visiblement, elle a crevé. À cet instant, mon sang ne fait qu’un tour : je dois violer cette fille. Cela lui apprendra à me refuser une danse !